En effet, en injectant par voie intraveineuse des nano-particules de PLGA poly(lactide-co-glycolide) chargées de dopamine (neurotransmetteur qui permet aux cellules nerveuses de communiquer entre elles) chez les souris, une équipe de l’Institut de recherche en toxicologie de l’Inde a réussi à diminuer les symptômes de tremblement et les difficultés de se mouvoir qu’ont les patients atteints de cette maladie. Ces nano-particules peuvent traverser la membrane hémato-encéphalique et libèrent la dopamine de façon graduelle dans le cerveau.
Les nanoparticules vont au front contre le Parkinson!
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